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GARDASIL®9 pour les femmes

GARDASIL®9 est un vaccin qui aide à protéger les filles, les femmes et les personnes qui ont un col de l’utérus contre les 9 types de VPH qui peuvent causer certains cancers et maladies liés au VPH.

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Si vous avez entre 18 et 45 ans, FAITES-VOUS VACCINER pour vous aider à vous protéger.

Quelques faits sur le VPH et sur GARDASIL®9

La vaccination contre le VPH N’EST PAS réservée aux jeunes. Vous pouvez contracter le virus à n’importe quelle étape de votre vie sexuelle active.

La vaccination par GARDASIL®9 peut offrir une protection efficace contre les 9 types de VPH qui causent certains cancers et certaines maladies liés au VPH, comme environ 90 % des cas de cancer du col de l’utérus, 70 % de certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche, et plus de 90 % des verrues génitales.

Le VPH est responsable de près de 100 %


FAIT :
Le VPH est responsable de près de 100 % des cas de cancer du col de l’utérus.

75% des Canadiens #3


FAIT :
On estime que 75 % des Canadiens actifs sexuellement contracteront au moins une infection par le VPH au cours de leur vie.

Entretenir une relation monogame


FAIT :
Entretenir une relation monogame ne vous protège PAS contre les infections par le VPH.

Toutes les 15 minutes


FAIT :
On estime que, toutes les 15 minutes, un Canadien contracte des verrues génitales.

La vaccination peut contribuer à vous protéger


FAIT :
Même si vous avez déjà contracté une infection par un type de VPH particulier, la vaccination peut contribuer à vous protéger contre d’autres types du virus contenus dans le vaccin.

Le cancer du col de l’utérus est le 3e type de cancer


FAIT :
Le cancer du col de l’utérus est le 3e type de cancer le plus fréquent chez les Canadiennes âgées de 20 à 40 ans.

Le condom ne suffit pas


FAIT :
Le condom ne suffit pas toujours pour protéger contre le VPH, car il ne protège que la région qu’il recouvre.

En 2012


FAIT :
En 2012, le cancer de l’oropharynx était le type de cancer associé au VPH le plus courant au Canada (1 335 cas), suivi du cancer du col de l’utérus (1 300 cas) et du cancer de l’anus (475 cas).

Signes et symptômes du VPH chez les femmes

La plupart des femmes infectées par le VPH ne présentent aucun symptôme et la plupart des infections disparaîtront sans traitement. Les verrues génitales sont souvent le seul signe visible d’une infection. Les infections persistantes par le VPH chez les femmes peuvent entraîner des cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, de l’anus et de certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.

La vaccination contre le VPH est l’une des meilleures façons de vous aider à vous protéger contre certains cancers et maladies liés au VPH. La réalisation d’un test Pap à intervalles réguliers est le meilleur moyen de détecter les cellules anormales du col de l’utérus suffisamment tôt et de les traiter avant qu’elles causent un cancer du col de l’utérus. Le test Pap est une méthode de dépistage simple qui permet de déceler des modifications des cellules du col de l’utérus. La majorité des anomalies révélées par le test Pap sont causées par le VPH.

Le VPH chez les femmes peut causer :

Cancer du col de l’utérus

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(AVERTISSEMENT : contenu explicite)

Cancer du col de l’utérus

Les symptômes peuvent comprendre des saignements vaginaux anormaux, des douleurs pendant les relations sexuelles, une augmentation des pertes vaginales, une douleur dans la région pelvienne ou dans le bas du dos, une perte de poids, un manque d’énergie et un essoufflement.

Photo gracieuseté du Dr Michel Roy
Cancer du vagin ou de la vulve

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(AVERTISSEMENT : contenu explicite)

Cancer du vagin ou de la vulve

Souvent, il n’y a pas de signe. Peut causer des démangeaisons ou une sensation de brûlure qui ne disparaissent pas, de la douleur dans la région pelvienne, des saignements vaginaux anormaux, de la difficulté à uriner ou de la douleur lors des rapports sexuels.

Photo gracieuseté du Dr Michel Roy
Cancer de la tête et du cou

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(AVERTISSEMENT : contenu explicite)

Cancer de la tête et du cou

Les symptômes peuvent comprendre une bosse ou une douleur persistante dans la région de la tête et du cou, un mal de gorge persistant, des plaques blanches ou rouges dans la bouche, une difficulté à avaler ou un changement de la voix.

Photo gracieuseté du Dr Anthony Zeitouni
Verrues génitales

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(AVERTISSEMENT : contenu explicite)

Verrues génitales

Les verrues génitales sont de petites excroissances en forme de chou-fleur qui peuvent provoquer des démangeaisons ou une sensation de brûlure. Elles peuvent être planes ou saillantes, petites ou grosses et isolées ou en grappe.

Photo gracieuseté du Dr Alex Ferenczy
Cancer de l’anus

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(AVERTISSEMENT : contenu explicite)

Cancer de l’anus

Les symptômes comprennent les saignements de l’anus, une difficulté à aller à la selle, de la douleur ou des bosses, des démangeaisons ou un écoulement.

Photo gracieuseté du Dr Alex Ferenczy

Comment contribuer à réduire votre risque

Comment contribuer à réduire votre risque

La vaccination contre le VPH est l’une des meilleures façons de vous aidez à vous protéger contre certains cancers et certaines maladies liés au VPH.

Vous pouvez également contribuer à réduire votre risque d’infection par le VPH :

en limitant le nombre de partenaires sexuels

en limitant le nombre de partenaires sexuels

en utilisant correctement et systématiquement le condom

en utilisant correctement et systématiquement le condom

en ne fumant pas

en ne fumant pas

Contribuez à vous protéger contre certains cancers et maladies liés au VPH

Foire aux questions

GARDASIL®9 peut-il aider à protéger les femmes contre le cancer du col de l’utérus?

Oui. GARDASIL®9 peut être administré aux personnes âgées de 9 à 45 ans pour aider à les protéger contre les infections par le VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 et contre les maladies suivantes causées par le VPH :

  • le cancer du col de l’utérus (cancer de la partie inférieure de l’utérus) causé par le VPH des types 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58;
  • les cancers de la vulve (région génitale externe chez la femme) et du vagin causés par le VPH des types 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58;
  • certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche, causés par les VPH des types 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58. GARDASIL®9 bénéficie d’une autorisation de mise en marché avec conditions pour cette indication, en attendant les résultats d’études permettant d’attester son bénéfice clinique;
  • le cancer de l’anus causé par le VPH des types 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58;
  • les verrues génitales causées par le VPH des types 6 et 11;
  • les lésions cervicales anormales et précancéreuses (modifications dans les cellules du col de l’utérus qui peuvent devenir cancéreuses) observées au test Pap et causées par le VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58;
  • les lésions anormales et précancéreuses du vagin, de la vulve et de l’anus causées par le VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur GARDASIL®9, consultez votre professionnel de la santé.

Une femme peut-elle recevoir GARDASIL®9 si elle a déjà contracté une infection par le VPH?

GARDASIL®9 contribue à prévenir les maladies causées par certains types de VPH, mais il ne peut les traiter. Si vous avez déjà une infection par l’un des types de VPH contenus dans le vaccin, GARDASIL®9 contribuera à vous protéger contre les 8 autres types.

Communiquez avec votre professionnel de la santé pour obtenir plus de renseignements.

Une femme ayant une relation monogame peut-elle être infectée par le VPH?

Oui. Le VPH est un virus répandu. La majorité des personnes actives sexuellement contracteront le VPH au cours de leur vie. De nombreuses personnes atteintes du VPH ne présentent aucun signe ou symptôme. Cela signifie qu’elles peuvent transmettre le virus à d’autres personnes sans le savoir. Chaque partenaire ayant des relations sexuelles peut être infecté pendant de nombreuses années sans le savoir, car il n’y a souvent aucun symptôme visible.

De plus, vous pourriez être à risque même si vous n’avez qu’un ou une partenaire, car cette personne pourrait en avoir eu d’autres dans le passé.

Communiquez avec votre professionnel de la santé pour obtenir plus de renseignements.

Avez-vous d’autres questions? Consultez notre FAQ.