Page d'accueil > Cancers et maladies liés au VPH
De nombreux types de VPH sont associés à un risque faible et disparaissent spontanément, alors que d’autres peuvent causer des verrues génitales. Il existe aussi des types qui sont associés à un risque élevé et qui peuvent causer des cancers tels que les cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, de l’anus, du pénis ou certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.
La liste ci-dessous est celle des maladies qui peuvent être causées par le VPH.
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Pour les femmes
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Pour les hommes
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Pour les parents
Pour les femmes
Le VPH est responsable de près de 100 % des cas de cancer du col de l'utérus.
Le cancer du col de l’utérus est le 3e type de cancer le plus fréquent chez les femmes canadiennes âgées de 20 à 40 ans.
On estime que 1 400 Canadiennes recevront un diagnostic de cancer du col de l’utérus chaque année.
Lorsqu’une femme est infectée par certains types de VPH qui ne disparaissent pas d’eux-mêmes, des cellules anormales et précancéreuses peuvent se former dans la paroi du col de l’utérus. Le test Pap sert à détecter ces cellules anormales, et si elles ne sont pas repérées et traitées suffisamment tôt, des lésions précancéreuses, puis un cancer du col de l’utérus peuvent survenir.
Quelque 60 % des femmes atteintes d’un cancer du col de l’utérus n’ont pas fait l’objet d’un test Pap ni d’aucune autre épreuve de dépistage adéquate. Des études indiquent que l’instauration d’un programme de dépistage du cancer du col de l’utérus peut permettre de réduire de 70 % ou plus la mortalité attribuable à cette maladie.
Le VPH peut aussi causer d’autres cancers comme les cancers de la vulve, du vagin, de l’anus et certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.
C’est un fait… Le cancer de la tête et du cou comprend les cancers de la bouche, du nez, de la gorge, des sinus, des glandes salivaires, du larynx et des nœuds lymphatiques du cou. À un stade précoce, le cancer de la tête et du cou lié au VPH ne cause pas toujours de signes ou de symptômes. Les VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 causent au moins 70 % de certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.
Le cancer du vagin ne se manifeste souvent par aucun symptôme au début. Dans environ 85 % des cas, le cancer du vagin commence dans la muqueuse du vagin sous forme de carcinome malpighien. Les 2 types de VPH les plus fréquemment associés au cancer du vagin sont le VPH des types 16 et 18.
Le cancer de l’anus, ou cancer anal, est rare, mais sa fréquence est en hausse. Le VPH le plus souvent associé au cancer de l’anus est le VPH de type 16.
Saviez-vous qu’il existe plus de 200 types de VPH, dont environ 40 types qui infectent les voies génitales? De nombreux types de VPH à faible risque disparaissent d’eux-mêmes, mais le risque subsiste. Le virus reste parfois latent durant des années, avant de se réactiver et de causer des verrues génitales.
Les verrues génitales sont habituellement les seuls signes visibles d’une infection par le VPH. Les verrues génitales sont de petites excroissances en forme de chou-fleur qui peuvent provoquer des démangeaisons ou une sensation de brûlure. Elles peuvent être planes ou saillantes, et isolées ou en grappe. Il est parfois difficile de déceler les verrues génitales, car elles peuvent se former à la surface ou à l’intérieur des organes génitaux des semaines, des mois ou même des années après le contact sexuel.
Les verrues génitales peuvent causer un stress émotionnel considérable, et il peut être nécessaire de les faire disparaître au moyen de médicaments ou d’une intervention chirurgicale. Les verrues génitales peuvent aussi réapparaître.
Quelques faits sur les verrues génitales :
- On estime que, toutes les 15 minutes, un Canadien contracte des verrues génitales
- Chez les hommes et les femmes, on estime que le risque à vie d’avoir des verrues génitales dépasse 10 %
- Les traitements comprennent les crèmes topiques, ainsi que l’excision par chirurgie ou laser, le gel ou la brûlure des verrues†
- Les verrues génitales peuvent avoir des répercussions psychosociales importantes‡
- Les VPH de types 6 et 11 causent plus de 90 % des verrues génitales
† GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour le traitement des verrues génitales.
‡ GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour remédier aux conséquences des verrues génitales.
Plus d’information sur les sujets suivants
Pour les hommes
C’est un fait… Les hommes peuvent contracter des verrues génitales et des cancers liés au VPH, même s’ils se protègent au moyen d’un condom.
Les verrues génitales sont habituellement les seuls signes visibles d’une infection par le VPH. Les verrues génitales sont de petites excroissances en forme de chou-fleur qui peuvent provoquer des démangeaisons ou une sensation de brûlure. Elles peuvent être planes ou saillantes, et isolées ou en grappe. Il est parfois difficile de déceler les verrues génitales, car elles peuvent se former à la surface ou à l’intérieur des organes génitaux des semaines, des mois ou même des années après le contact sexuel.
Les verrues génitales peuvent causer un stress émotionnel considérable, et il peut être nécessaire de les faire disparaître au moyen de médicaments ou d’une intervention chirurgicale. Les verrues génitales peuvent aussi réapparaître.
Quelques faits sur les verrues génitales :
- On estime que, toutes les 15 minutes, un Canadien contracte des verrues génitales
- Chez les hommes et les femmes, on estime que le risque à vie d’avoir des verrues génitales dépasse 10 %
- Outre le pénis, les verrues génitales peuvent se former sur le scrotum, sur les cuisses ou sur l’anus
- Les traitements comprennent les crèmes topiques, ainsi que l’excision par chirurgie ou laser, le gel ou la brûlure des verrues†
- Les verrues génitales peuvent avoir des répercussions psychosociales importantes‡
- Les VPH de types 6 et 11 causent plus de 90 % des verrues génitales
Le cancer de la tête et du cou comprend les cancers de la bouche, du nez, de la gorge, des sinus, des glandes salivaires, du larynx et des nœuds lymphatiques du cou. À un stade précoce, le cancer de la tête et du cou lié au VPH ne cause pas toujours de signes ou de symptômes. Le VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 causent au moins 70 % de certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.
Le cancer de l’anus, ou cancer anal, est rare, mais sa fréquence est en hausse. Le VPH le plus souvent associé au cancer de l’anus est le VPH de type 16.
Le cancer du pénis* est un type de cancer encore plus rare, qui représente moins de 1 % des cancers chez l’homme. En général, le cancer du pénis touche le gland ou le prépuce, et non le corps pénien. Les 2 types de VPH les plus fréquemment associés au cancer du pénis sont les VPH de types 16 et 18.
* GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour le traitement ou la prévention du cancer du pénis.
† GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour le traitement des verrues génitales.
‡ GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour remédier aux conséquences des verrues génitales.
Plus d’information sur les sujets suivants
Pour les parents
C’est un fait… Le VPH est la principale cause de cancer du col de l’utérus et de verrues génitales.
Pour votre fille
Le cancer du col de l’utérus touche la partie inférieure de l’utérus qui est reliée au vagin (le col). Contrairement à la plupart des autres cancers, il n’est pas transmis d’une génération à l’autre par l’intermédiaire des gènes.
Le VPH est responsable de près de 100 % des cas de cancer du col de l'utérus.
Lorsqu’une femme est infectée par certains types de VPH qui ne disparaissent pas d’eux-mêmes, des cellules anormales et précancéreuses peuvent se former dans la paroi du col de l’utérus. Le test Pap sert à détecter ces cellules anormales, et si elles ne sont pas repérées et traitées suffisamment tôt, des lésions précancéreuses, puis un cancer du col de l’utérus peuvent survenir.
Quelque 60 % des femmes atteintes d’un cancer du col de l’utérus n’ont pas fait l’objet d’un test Pap ni d’aucune autre épreuve de dépistage adéquate. Des études indiquent que l’instauration d’un programme de dépistage du cancer du col de l’utérus peut permettre de réduire de 70 % ou plus la mortalité attribuable à cette maladie.
Au Canada, environ 1 400 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus sont diagnostiqués chaque année.
Le VPH peut également causer d’autres cancers, notamment les cancers de la vulve, du vagin, de l’anus et certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.
Le cancer de la tête et du cou comprend les cancers de la bouche, du nez, de la gorge, des sinus, des glandes salivaires, du larynx et des nœuds lymphatiques du cou. À un stade précoce, le cancer de la tête et du cou lié au VPH ne cause pas toujours de signes ou de symptômes. Le VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 causent au moins 70 % de certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.
Aux stades précoces, le cancer du vagin n’est souvent associé à aucun symptôme. Dans environ 85 % des cas, le cancer du vagin commence dans la muqueuse du vagin sous forme de carcinome malpighien. Les 2 types de VPH les plus fréquemment associés aux cancers du vagin sont le VPH de types 16 et 18.
Le cancer de la vulve se forme lentement, au cours de nombreuses années, les modifications précancéreuses survenant souvent tout d’abord à la surface de la peau de la vulve. Les 2 types de VPH les plus fréquemment associés aux cancers de la vulve sont le VPH des types 16 et 18.
Pour votre fils :
Le cancer de la tête et du cou comprend les cancers de la bouche, du nez, de la gorge, des sinus, des glandes salivaires, du larynx et des nœuds lymphatiques du cou. À un stade précoce, le cancer de la tête et du cou lié au VPH ne cause pas toujours de signes ou de symptômes. Le VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 causent au moins 70 % de certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.
Le cancer de l’anus, ou cancer anal, est rare, mais sa fréquence est en hausse. Le VPH le plus souvent associé au cancer de l’anus est le VPH de type 16.
Le cancer du pénis* est un type de cancer encore plus rare, qui représente moins de 1 % des cancers chez l’homme. En général, le cancer du pénis touche le gland ou le prépuce, et non le corps pénien. Les 2 types de VPH les plus fréquemment associés au cancer du pénis sont le VPH de types 16 et 18.
Les hommes, tout comme les femmes, peuvent contracter le VPH et le transmettre aux autres à leur insu.
Saviez-vous qu’il existe plus de 200 types de VPH, dont environ 40 types qui infectent les voies génitales?
De nombreux types de VPH à faible risque disparaissent d’eux-mêmes, mais le risque subsiste. Le virus reste latent parfois durant des années, avant de se réactiver et de causer des verrues génitales.
Les verrues génitales sont habituellement les seuls signes visibles d’une infection par le VPH. Les verrues génitales sont de petites excroissances en forme de chou-fleur qui peuvent provoquer des démangeaisons ou une sensation de brûlure. Elles peuvent être planes ou saillantes, et isolées ou en grappe. Il est parfois difficile de déceler les verrues génitales, car elles peuvent se former à la surface ou à l’intérieur des organes génitaux des semaines, des mois ou même des années après le contact sexuel.
Les verrues génitales peuvent causer un stress émotionnel considérable, et il peut être nécessaire de les faire disparaître au moyen de médicaments ou d’une intervention chirurgicale. Les verrues génitales peuvent aussi réapparaître.
Quelques faits sur les verrues génitales:
- On estime que, toutes les 15 minutes, un Canadien contracte des verrues génitales
- Chez les hommes et les femmes, on estime que le risque à vie d’avoir des verrues génitales dépasse 10 %
- Les traitements comprennent les crèmes topiques, ainsi que l’excision par chirurgie ou laser, le gel ou la brûlure des verrues†
- Les verrues génitales peuvent avoir des répercussions psychosociales importantes‡
- Les VPH de types 6 et 11 causent plus de 90 % des verrues génitales
* GARDASIL®9 n’est pas indiqué dans le traitement ou la prévention du cancer du pénis ou du cancer de la bouche et de la gorge.
† GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour le traitement des verrues génitales.
‡ GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour remédier aux conséquences des verrues génitales.
Plus d’information sur les sujets suivants
C’est un fait… Le VPH est la principale cause de cancer du col de l’utérus et de verrues génitales.
C’est un fait… Les hommes peuvent contracter des verrues génitales et des cancers liés au VPH, même s’ils se protègent au moyen d’un condom.