Page d'accueil > Protection contre le VPH

Selon la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, l’absence de toute activité sexuelle comprenant un contact génital est le seul moyen de se protéger entièrement contre le VPH – une situation plutôt irréaliste.

À défaut d’obtenir une protection totale, vous avez avantage à faire de votre mieux pour vous protéger, peu importe si vous êtes actuellement actif ou active sexuellement ou si vous avez déjà eu ou non une infection par le VPH.

Vous trouverez ci-dessous une liste de mesures à prendre pour contribuer à vous protéger et à réduire votre risque de contracter ou de transmettre le VPH.

Pour les femmes

C’est un fait… La réalisation d’un test Pap à intervalles réguliers et le recours à la vaccination contre le VPH peuvent aider à prévenir le cancer du col de l’utérus

Envisagez de recevoir le vaccin GARDASIL®9

La vaccination contre le VPH N’EST PAS réservée aux jeunes. Vous pouvez contracter le virus à n’importe quelle étape de votre vie sexuelle active.  GARDASIL®9 peut être administré aux personnes de 9 à 45 ans. La vaccination par GARDASIL®9 peut offrir une protection efficace contre les 9 types de VPH qui causent environ 90 % des cas de cancer du col de l’utérus, au moins 25 % des cas de vulve, 74 % des cas de cancer du vagin, 80 à 90 % des cas de cancer de l’anus et des lésions précancéreuses, 70 % de certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche, et les 2 types de VPH qui causent plus de 90 % des verrues génitales.

Si vous avez déjà contracté une infection par le virus, il N’EST PAS trop tard pour recevoir le vaccin. Même si vous avez déjà contracté une infection par un type de VPH particulier, la vaccination peut contribuer à vous protéger contre d’autres types du virus contenus dans le vaccin. Cependant, le vaccin ne permet pas de traiter une infection par le VPH existante. 

De nombreux types de VPH sont associés à un risque faible et disparaissent spontanément, alors que d’autres peuvent causer des verrues génitales. Il existe aussi des types qui sont associés à un risque élevé et qui peuvent causer des cancers tels que les cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, de l’anus et certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche. Par conséquent, il pourrait vous être utile d’opter pour GARDASIL®9 afin de mieux vous protéger.

Si vous décidez de vous faire vacciner par GARDASIL®9 pour contribuer à mieux vous protéger, vous pourriez souhaiter partager ce que vous avez appris avec une personne qui vous est chère.

Consultez votre professionnel de la santé dès aujourd’hui pour savoir si GARDASIL®9 peut vous convenir.

 

Utilisez le condom

Rappelez-vous que l’utilisation du condom ne permet pas de garantir une protection complète contre le VPH, car il ne protège que la région qu’il recouvre. Le risque de contracter le VPH par contact cutané à l’extérieur de la région recouverte par le condom subsiste. Cela étant dit, l’utilisation du condom est un excellent moyen de réduire votre risque d’infection par le VPH, en plus d’offrir une très bonne protection contre d’autres infections transmissibles sexuellement.

 

Passez un test Pap régulièrement

À l’instar du dépistage du cancer du sein par la mammographie, le test Pap permet de dépister le cancer du col de l’utérus. Le test Pap est une méthode de dépistage simple qui permet de déceler des modifications des cellules du col de l’utérus. La réalisation d’un test Pap à intervalles réguliers est le meilleur moyen de détecter les cellules du col de l’utérus anormales suffisamment tôt et de les traiter avant qu’elles causent un cancer du col de l’utérus. La majorité des anomalies révélées par le test Pap sont causées par le VPH. Pour passer un test Pap, prenez un rendez-vous avec votre professionnel de la santé.

N’oubliez pas : Les tests Pap doivent être réalisés à intervalles réguliers, même après la vaccination.

 

Cessez de fumer – pour de bon!

Le tabagisme affaiblit le système immunitaire, le rendant moins efficace pour combattre les infections par le VPH. Il s’agit également d’un facteur dans le développement de divers types de cancer et de verrues génitales. Le risque de cancer du col de l’utérus est environ 2 fois plus élevé chez les fumeuses que chez les non-fumeuses... Voilà une bonne raison de cesser de fumer, n’est-ce pas?

Pour les hommes

Verrues génitales et cancer – Quoi dire de plus?

Envisagez de recevoir le vaccin GARDASIL®9

La vaccination contre le VPH N’EST PAS réservée aux femmes. Vous pouvez contracter le virus à n’importe quelle étape de votre vie sexuelle active. La vaccination par GARDASIL®9 aide à prévenir l’infection par les types de VPH qui causent la plupart des verrues génitales et des cancers liés au VPH. Consultez votre professionnel de la santé dès aujourd’hui pour savoir si GARDASIL®9 peut vous convenir.

De nombreux types de VPH sont associés à un risque faible et disparaissent spontanément, alors que d’autres peuvent causer des verrues génitales. Il existe aussi des types qui sont associés à un risque élevé et qui peuvent causer des cancers, tels que le cancer de l’anus et certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche. Par conséquent, il pourrait vous être utile d’opter pour GARDASIL®9 afin de mieux vous protéger.

Si vous avez déjà contracté une infection par le virus, il N’EST PAS trop tard pour recevoir le vaccin. Même si vous avez déjà contracté une infection par un type de VPH particulier, la vaccination peut contribuer à vous protéger contre d’autres types du virus contenus dans le vaccin. Cependant, le vaccin ne permet pas de traiter une infection par le VPH existante.

Si vous décidez de vous faire vacciner par GARDASIL®9 pour contribuer à mieux vous protéger, vous pourriez souhaiter partager ce que vous avez appris avec une personne qui vous est chère.

 

Utilisez le condom

Rappelez-vous que l’utilisation du condom ne permet pas de garantir une protection complète contre le VPH, car il ne protège que la région qu’il recouvre. Le risque de contracter le VPH par contact cutané à l’extérieur de la région recouverte par le condom subsiste. Cela étant dit, l’utilisation du condom est un excellent moyen de réduire votre risque d’infection par le VPH, en plus d’offrir une très bonne protection contre d’autres infections transmissibles sexuellement.

 

Assurez-vous de passer les examens de santé périodiques

Bien que les tests Pap soient offerts seulement aux femmes, votre professionnel de la santé peut vous examiner afin de déceler les verrues génitales causées par le VPH ainsi que les signes de cancer du pénis et de l’anus et de cancer de la tête et du cou. Les hommes et les femmes qui croient être exposés à un risque de contracter le VPH devraient se soumettre à des examens de santé périodiques.

 

Cessez de fumer – pour de bon!

Le tabagisme affaiblit le système immunitaire, le rendant moins efficace pour combattre les infections par le VPH. Il s’agit également d’un facteur dans le développement de divers types de cancer et de verrues génitales. Voilà une bonne raison de cesser de fumer, n’est-ce pas?

Pour les parents

Vous pouvez discuter avec votre enfant des moyens offerts pour contribuer à prévenir le VPH et à réduire son risque de contracter le VPH et les maladies qu’il peut causer

Envisagez de faire vacciner votre enfant par GARDASIL®9

Votre enfant peut contracter le virus à n’importe quelle étape de sa vie sexuelle active, c’est pourquoi la vaccination est recommandée à un jeune âge. La vaccination par GARDASIL®9 aide à prévenir l’infection par les types de VPH qui causent la plupart des verrues génitales et des cancers liés au VPH. Consultez votre professionnel de la santé dès aujourd’hui pour savoir si GARDASIL®9 peut convenir à votre enfant.

Si votre enfant a déjà contracté une infection par le virus, il N’EST PAS trop tard pour le faire vacciner. Si votre enfant a déjà contracté une infection par un type de VPH particulier, la vaccination peut tout de même contribuer à le protéger contre d’autres types de VPH contenus dans le vaccin. Cependant, le vaccin ne permet pas de traiter une infection par le VPH existante.

Si vous décidez de faire vacciner votre enfant par GARDASIL®9, vous pourriez souhaiter partager vos connaissances sur la prévention du VPH avec d’autres parents - pour toutes les raisons décrites dans le présent site Web!

Vous pouvez également inciter votre enfant à prendre les mesures ci-dessous.

Utilisez le condom

Rappelez-lui que l’utilisation du condom ne permet pas de garantir une protection complète contre le VPH, car il ne protège que la région qu’il recouvre. Le risque de contracter le VPH par contact cutané à l’extérieur de la région recouverte par le condom subsiste. Cela dit, l’utilisation du condom est un excellent moyen de réduire le risque d’infection de votre enfant par le VPH, en plus d’offrir une très bonne protection contre d’autres infections transmissibles sexuellement.

Chez les jeunes femmes : passer un test Pap régulièrement

Si elle se soumet à un test Pap à intervalles réguliers, votre fille aura la possibilité d’être traitée tôt si elle devait contracter le VPH.

Chez les jeunes hommes : passer des examens de santé périodiques

Si votre fils se soumet à des examens de santé périodiques, son professionnel de la santé sera en mesure de vérifier la présence de tout signe de verrues génitales.

Retarder le début des rapports sexuels

Le meilleur moyen de prévenir le VPH est de s’abstenir d’avoir des relations sexuelles.

 

Il suffit du contact avec un seul partenaire infecté pour que votre enfant contracte le virus.
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C’est un fait… La réalisation d’un test Pap à intervalles réguliers et le recours à la vaccination contre le VPH peuvent favoriser la prévention du cancer du col de l’utérus. La vaccination contre le VPH contribue également à prévenir d’autres maladies liées au VPH, telles que les verrues génitales.

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C’est un fait... En 2012, le cancer de l’oropharynx était le type de cancer associé au VPH le plus courant au Canada (1 335 cas), suivi du cancer du col de l’utérus (1 300 cas) et du cancer de l’anus (475 cas).

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C’est un fait… Le cancer de l’anus, ou cancer anal, est rare, mais sa fréquence est en hausse. Le VPH le plus souvent associé au cancer de l’anus est le VPH de type 16.

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C’est un fait… On estime que 75 % des Canadiens actifs sexuellement contracteront au moins une infection par le VPH au cours de leur vie.